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Ville
de Bollène
 Coups de cœur pour quelques joyaux du patrimoine
Loin d’être exhaustive, la balade recèle ici quelques étapes, 
encore promises à des restaurations accrues
 
Dimanche 
19 septembre 2010

Circuit médiéval 1       Circuit médiéval 2      Maison Cardinale     Collégiale    Association de défense    Programme 2010 

       

     1. Chapelle Saint-Ariès

  • En cette veille d’automne plutôt ensoleillée, pas mal de Bollénois ont consacré leur dimanche à flâner entre les monuments dont regorge la cité. Nous leur avons emboîté le pas.
       

  • La Ville, qui a bien fait les choses, relève le défi : capter le regard, réveiller la fibre patrimoniale, voire toucher le cœur. Mais le labyrinthe comporte tant d’étapes ! En voici quelques-unes.  
      

  • Tel un joyau niché à l’écart de la ville, la chapelle Saint-Ariès serait un vestige d’un village apparu au VIIe siècle. 
       

  • Georgette Romann, hôtesse, nous dirige vers un retable en bois doré, dû au sculpteur bollénois Philippe Mézangeau. 
       

  • Et la statue de la Vierge ? « Elle a survécu aux flammes des trop nombreux cierges qu’avaient allumés les pèlerins autour d’elle et est aujourd’hui en lieu sûr », nous explique aimablement Henri Romann, propriétaire,

La chapelle Saint-Ariès et leurs hôtes et propriétaires...

... Henri et Georgette Romann (à gauche sur le parvis).

   

          Le retable en bois doré, dû à Philippe Mézangeau

La visite est enrichie par des commentaires.

   
       
    
   

   2. Hôtel de Justamond

Les ferronniers de Provence
  • Nous quittons le quartier de l’Etang et regagnons le centre ville et l’Hôtel de Justamond (XVIe siècle) devenu, durant le week-end, le QG des défenseurs du patrimoine. 
       

  • Jean-Marc Barreau, leur porte-parole, nous explique : « Pour les artisans que nous sommes, c’est l’occasion d’exposer un savoir-faire. »
         

  •  Lui-même maçon, il est entouré d’un ébéniste, d’un carreleur, d’un peintre décorateur, d’un ferronnier et d’un fabricant d’objets d’art en cire d’abeilles.  
       

  • L’accent est mis cette année sur la ferronnerie, comme l’illustre sur place la superbe rampe de l’escalier, constituée de fines sections de fer forgé, en fonction du matériau assez rare en Provence, « une économie qui finalement ajoute en finesse et à l’esthétique », souligne notre hôte.  

Une rampe en fer forge où s’appuient les artisans Patrick Rocher, Jean-Marc Barreau et Jean-François Paquet. 

Les visiteurs défilent en cet hôtel particulier devenu occasionnellement le QG des défenseurs du patrimoine.

  
  • Deux rues plus loin, vers le Lez, nous voici à l’Hôtel d’Albi ou d’Antremont, alias la Maison de la culture provençale, récemment rebaptisée « Maison Florence Forns ». 

  • C’est dire l’accumulation des richesses patrimoniales, réparties entre « Li Cardelina » au rez-de-chaussée et « Parlaren à Bouléno » à l’étage !

  • Voilà du grain à moudre pour un prochain volet, où Ludovic et Marie-Christine d’Alauzier nous commenterons aussi le début de résurrection d’une chapelle interne de la collégiale Saint-Martin. 
                                                                                                              
                                                                                                                                                 A suivre…  

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