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Le
printemps est reparti à l'envers. Les chats ont froid. Ils se réchauffent
sur le capot tiède des voitures. Iguy a sauté sur ma Clio. Je me
suis mis au volant. Il a feint de ne rien voir. J'ai mis en route. Il
a grimpé sur le toit tandis que la voiture commençait à rouler.
Puis il a sauté à terre.
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C'était
le 1er mai, au sortir du repas de famille chez mon frère.
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Tout
cela ne nous dit pas où fugue Bambou (voir
page). Les chats sont de drôles de bêtes. Altières, indifférentes.
Plus on les aime, moins elles vous regardent.
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Leurs
câlins sont intéressés. Comme disait maman (toquée des chats comme
moi) : tout chat mesure son homme. Il se sait inférieur. Si soudain
les rapports de volume corporel s'inversaient, il nous mangerait.
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Bambou
court peut-être le guilledou (voir page)...
Plaise au ciel que la Lune de miel tourne court et qu'il regagne le
Puits de Rocher !
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