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Comité des fêtes Du rire en cascade pour les
aficionados de Jean-Patrick Douillon
Vendredi 1er octobre 2010

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  • Les absents ont toujours tort. Le vieil adage vaut ici pour ceux qui n’ont pas répondu à l’offre du Comité des fêtes et ont manqué les pérégrinations savoureuses de Jean-Patrick Douillon dans le paysage polotico-médiatique, suivi au jour le jour.
       

  • Quelques dizaines de Mondragonnais avisés, ralliés par une poignée d’aficionados venus des alentours, ont toutefois dégusté avec délices cet one man show délirant. 
     

  • Sans répit, une heure trente durant, l’artiste les a baladés chez « Sarko, sa femme et Benoît XVI », une trame jubilatoire autour de laquelle s’articule un dépliant de sketches à l’infini.

Un one man show délirant une heure trente durant. 

  
  • « Je ne joue jamais deux fois pareil et suis obligé de me caler sur l’actualité », nous a confié l’humoriste au sortir de la scène.
     

  • En marge, une constante avec chansons et guitare amène la participation du public. L’énormité des gags bascule et donne des ailes aux gros sabots. C’est décidément très fort.
     

  • Difficile d’isoler un exemple, tant il y en a. Citons la chute du spectacle, liée à la disparition du franc au profit de l’euro.
      

  • Une pièce de 20 centimes et un billet de 500 francs arrivent au paradis. La première, discrète, est accueillie à bras ouverts par Saint-Pierre. Le second, hâbleur, est rejeté « car on ne t’a pas souvent vu à la messe », lui rétorque l’apôtre.

L’assistance a surfé sans temps mort ni répit sur l’avalanche des gags.

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