Assemblée générale - Lundi 7 décembre 2009
Une « Rose » sans épines
qui embarrasse quand même…!
Une concertation est engagée
sur un éventuel changement de nom
Episodes Précédents  

 

  • La Rose donne son nom au comité local qui, lors de sa récente assemblée générale, « s’interrogeait sur un possible handicap du fait d’une affiliation prétendument restrictive auprès du Parti socialiste. »

  • Or Jacques Brunel, président, « rappelle que le mouvement, apparu en 1985, reste ouvert à toutes les sensibilités laïques et hommes de gauche, y compris ceux du PS. »

  • Nuance, donc ! Une concertation est engagée. Elle pourrait aboutir à un changement d’appellation, via assemblée générale extraordinaire.

  • Car au vu de rassemblements pas toujours significatifs, le message d’ouverture passerait mal. Pire : initialement prévue en partenariat avec Bollène à l’Ile-Vieille le 26 octobre dernier, la fête de La Rose a dû être annulée, suite au désistement intempestif du comité bollénois.

  • Voilà qui limite d’autant le compte-rendu d’activité et le solde financier à guère plus de 1 000 €.

 
 
  • La prochaine fête de La Rose est programmée pour samedi 25 septembre 2010. Après un débat sur l’avenir de La Poste, pourraient être abordées la réforme des collectivités locales, la remise en cause de la taxe professionnelle ou des Conseils généraux.

  • « Notre association reste apparemment la seule à débattre de tels sujets », souligne Jacques Brunel.

  • La Rose compte à ce jour 24 adhérents d’âge respectable et « souhaiterait accueillir des jeunes ». La cotisation annuelle reste inchangée à 5 €

 

 Le bureau est reconduit comme suit : Jacques Brunel, président : Edmond Chesnet, vice-président ; Danièle Chesnet, secrétaire ; Geneviève Grange, secrétaire-adjointe ; Daniel Grange, trésorier ; Alain Dalzon, trésorier-adjoint.

 
 

Débat : le prix de la santé
  • Suivie d’un débat et d’un cordial buffet, la réunion s’est étoffée avec des éléments venus de Bollène, Orange, Nornas, Nyons.
     

  • Dolorès Meunier, présidente du Groupement mutualiste en Vaucluse, a débattu « du prix abusif de la santé et des montages financiers douteux, calqués sur le modèle américain, qui, en quatre ans, ont réduit en France le nombre de mutuelles, passé de 6500 à 500, avec pour objectif une concentration imminente à 30. »
     

  • André Lachard, président du Comité de Valréas, « se félicite d’avoir contribué à sauver la maternité de Valréas, mais rappelle qu’en France, en vingt ans, ont été fermés 100 000 lits d’hôpitaux, alors que croissent l’espérance de vie et le nombre d’aînés. »

Dolorès Meunier,

André Lachard,

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