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Comité
des fêtes
15ème Rencontres des Musiques et Saveurs de Terroirs
Au bal des rencontres cubaines
sous la déferlante des décibels
Samedi
20 novembre 2010

Edition 2009         Accueil et programme 2010       Soirée de Vendredi
Vidéo... (n'y comptez pas trop !)

  

Repas cubain, côté cuisine, côté salle... Une note gourmande ou affective... avant le raz-de-marée des décibels qui submergera tout !

  

  • Vendredi soir, Allegria Brass Band et ses dix musiciens nous ont effectivement donné un aperçu des traditions cubaines qui ont évolué pour aboutir à d’évidentes envolées jazz afro-cubaines (voir page). Samedi soir, le second volet enfonçait le clou avec une rythmique effrénée, balayant toute notion de concert au profit d’une guinche débridée, empoignée par une sono assourdissante.
     

  • Deux groupes ont successivement rivalisé de fougue : Son Yuma, inspiré par « La Calle », ou la rue havanaise, et Conjuto Massalia, dont les mélopées envoûtantes « ont glissé des quartiers chauds de la Havane pour atteindre jusqu’à La Cannebière. » Le tout débarquait donc à Mondragon pour illustrer les 15ème Rencontres des musiques de terroirs.
     

  • Au sortir d’un repas cubain adoptant la formule cabaret, la plupart des 200 convives se sont visiblement éclatés. Grossi par un public qui n’avait pas forcément dîné sur place, le bal a vu ses proportions croître d’autant. Les habitués de boîtes de nuit y ont sans doute trouvé leur compte. Quelques autres, tétanisés par l’avalanche des décibels, sont restés avachis sur leur siège.
     

  • A chacun d’apprécier selon ses appétences. Ne jouons pas les trouble-fête d’autant que l’organisation avait fait le maximum : une salle décorée évoquant Cuba, un stage de danse préalable l’après-midi, un repas typique et toutes ses tâches indissociables (bar, service, vaisselle). Bref, un bénévolat sans faille à mettre au Crédit du Comité des fêtes.

Côté cusine (suite) : le sourire apaisant de la jolie Céline...

  
Conjuto Massalia plonge dans la salsa de la Havane. Son Yuma, groupe nourri de la musique populaire cubaine.

   

Rompus aux sonos assourdissantes, les habitués de boîtes de nuit y ont sans doute trouvé leur compte. Mais les autres...?
Sauf impératif, je ne m'en vais jamais avant la fin. J'ai tenu le coup jusqu'à 23 heures. Dehors, le silence et une pluie fine
m'ont délicieusement rafraîchi. Je n'ai pas pressé le pas pour rallier à pied ma tour d'ivoire silencieuse...

  

J'ai quand même vaguement sympathisé avec quelques aficionados, venus de Nîmes.

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