• Là, les gars, j'ai deux ou trois longueurs de retard pour relater l'événement.
• Ça date d'au moins une semaine.
   
• Faut pas m'en vouloir. Je mène de front tout le village (ou presque). Je me prends les pieds dans le tapis informatique, et l'autre fichu Dragon (celui de la légende) n'a pas encore fini de me laminer les neurones (montage vidéo).
   
• Bon, qu'est-ce que je disais, moi ?
   
• J'en étais resté au look fraise écrasée ou confiture de groseilles si vous préférez.
• Ah, ces mollets roses au soleil déclinant !  (u voir diaporama).
• Or, depuis, les (pseudo)croulants des Vieux Dragons auraient osé braver les jeunots (relatifs) du Sporting.
• Les premiers s'inclinent devant les seconds par un score de 4 à 3.
• C'est bien, papa !
• Tu ne t'inclines pas trop bas devant ce grand fiston qui regimbe.
   
• Les 4 buts du Sporting sont dus à Clément Aime, Nicolas Moga, Brahim et Jawad.
• Les 3 autres, côté vieux Dragons, sont le fait de Christian Pradier, Marc Vicente et Henry Isnard.
   
• Voilà pour cet inoubliable derby, fêté par d'augustes ripailles, mitonnées par l'ami Pierrot.

Les deux entités, pas si distinctes que ça, sont réunies...
Comment percer l'entrelacs ? Distinguer le père du fils ?
D'autant moins aisé que les petits gars en rose layette
sont censés être les vétérans !