Fleur de peau
de Jean-Pierre Zapata
Derrière l'employé sage
se cachait un poète
 Décembre 2007

 
 
  • Au sortir d’une boutique ou sur un bout de trottoir, de temps en temps, je croisais sans déplaisir ce compagnon de jeunesse, lié à de lointaines frasques.
     

  • Trois ou quatre décennies ont passé. Des relations en pointillé ont entretenu un vague concept : celui d’un ami d’enfance, perdu de vue, marié, chef de famille, professionnellement bien casé dans quelque banque…
     

  • Bref, une vague figure plutôt sympa qu’on range commodément sur l’étagère des bons souvenirs.

 
  • Et puis vlan ! L’improbable employé de banque, entre temps devenu conseiller en gestion du patrimoine, se révèle aussi au grand jour en qualité de poète.
     

  • Ce cas de légitime reconnaissance est celui de Jean-Pierre Zapata.
     

  • Il vient d’éditer « Fleur de peau », un recueil de poésies, où, de source plus ou moins avisée, « mots et images se télescopent dans une valse à mille temps ».

 

p Rangé sur l'étagère des vagues souvenirs de jeunesse, voici qu'il rejaillit sous les traits d'un poète !

     

  • Avant d’approfondir l’œuvre, qui m'est encore inconnue, et, éventuellement, d’y consacrer un second volet, voyons sa genèse.
     
  • Effectivement, Jean-Pierre est fils d’artiste. Feu son père, le sculpteur Zapata, a marqué le village. Le romancier Paul Colin (Prix Goncourt qui prête  son nom à la bibliothèque municipale) est un ami de la famille.
     
  • Le cinéaste Jean Fléchet (retraité à La Tissote) fait partie du bouillon de culture.
 
  • Marjorie Duquesne, jeune graphiste, collabore aujourd’hui avec le poète. 
     
  • D’où la parution de « Fleur de peau », récemment présenté en Avignon, autour d’un cordial buffet, au restaurant « Les 5 sens ».
L’ouvrage est disponible dans les FNAC ou, tout simplement, auprès de l’auteur qui semble nous avoir superbement caché son jeu.
 

pCe soir-là, Jean-Pierre tient le haut du pavé poétique.
L'une des deux muses qui l'accompagnent doit être
Marjorie Duquesne, graphiste.

 

p Entre les petits-fours et les bulles pétillantes,
"mots et images se télescopent dans une valse à mille temps".

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