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Monologues - Jeudi 16 Juin 2011
On n'en fait pas seulement de l'huile pour la salade.
Leur éclat est aussi une thérapie pour les faux-culs aux coudées franches.

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Aujourd'hui, j'ai décroché. Alors je fais court. Pour vous dire que Meszigues en a parfois ras le pompon. Du Drac, des ripailles associatives à l'Ile-Vieille, des assemblées générales, concerts, vernissages et autres galas.

Non content d'en rendre compte pour la presse (dans La Provence), je m'échine encore à développer le bazar dans ce fichu site pour des clopinettes. Ma seule rétribution, ce sont vos sourires en guirlandes. Dans l'ensemble, vous êtes plutôt contents... A un seul bémol près qui m'a valu le sobriquet de Faux-cul.

J'ai donc (momentanément) décroché les wagons et enfourché ma bécane avec, toutefois, mon Canon en bandoulière. D'où ces images. Sous le ciel pesant, rutilaient les tournesols. Leur éclat m'a requinqué. Comme toujours.

On se régénère comme on peut. J'aime bien aussi les colzas ou les coquelicots. C'est cul-cul la praline, mais c'est comme ça ! Demain, ça ira mieux. Mondragon-plus.com continuera d'être à jour. Quoi qu'on en pense, le faux-cul garde les coudées franches.

                                                                           A suivre, donc...

Pour relever le propos, je vous ai mis, là, à côté, des tournesols peints par Van Gogh.

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