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• Organisée par la Gaule-du-Rhône, l’ouverture du brochet rallie toujours de nombreux pêcheurs autour du lac des Breteaux. Soit près d’une centaine de lignes rappliquant d’un large périmètre, dont seulement six aujourd'hui, venant de Mondragon.

• Bouderie ? Evidemment non !

• Une trentaine de pêcheurs locaux a fait bande à part au bord de la lône, distancée du lac de quelques centaines de mètres.

• Pourquoi cette tactique ?

• Le président Henri Gallas explique : « Comme a pu s’en rendre compte Claude Chadefaux, membre de la fédération, très peu de Mondragonnais fréquentent les Breteaux. Où nous n’empoissonnions que pour les autres, venus d’ailleurs, notamment à cause du décalage de l’ouverture dans la Drôme qui a lieu un mois plus tard. »

p La lône du Rhône devient le fief des fines lignes mondragonnaises, indépendamment du lac des Breteaux 

p Ça fait un peu bande à part vis-à-vis des presque cent autres pêcheurs répartis autour
des Breteaux. Mais c'est le seul moyen de préserver une entité locale

p Aucun communiqué préfectoral
au sujet de la pollution des fleuves

p Deux superbes prises pour Patrice Lallemand :
un sandre (2 Kg) et un brochet (2,2 Kg)

p La lône ne communique pas directement avec le Rhône (sauf en cas d'inondation).
On s'efforce de croire que la pollution est évitée et donc que la pêche y est comestible

p Il est là !