Accueil   Reportages   Vidéos   Thèmes    Associations    Services   Historique      Archives     Voyages     Contact       
Sou des écoles laïques Un mini-carnaval au grand coeur
Mais que sont devenues les fresques carnavalesques d'antan ?
Samedi 27 mars 2010

     Carnaval 2009    Récréalivres 2009      Ass. gén. 2009

Vidéo  = 7' 10"

A un chapeau près genre corsaire (à gauche), il semble s'agir de cow-boys, selon l'influence de la danse country... hélas invisible et déconnectée du défilé... Ça alors ! 

  
Un clown de charme nommé Lydie
  • A défaut d’événement spectaculaire, on peut toujours louer l’immense mérite du Sou des écoles laïques qui, contre l'inertie ambiante, sauvegarde ces réjouissances carnavalesques. 

  • L’absence d’interaction associative devient criante au fil des ans. Seule la section Dragon’s Country du Foyer des jeunes s’est déplacée, mais pour une animation en catimini dans la salle des fêtes. 

  • Une erreur qui privait de musique le défilé dans les rues du village. L’abominable Carmentran, vecteur  de tous nos maux, a tout de même été jugé et brûlé sur la place. 

  • Un goûter offert à tous par le Sou a conclu ce mini-carnaval au grand cœur.

    

Qui c'est ? J'sais pas !

  

Il y a encore assez de monde pour constituer un défilé... Mais faudrait pas que ça continue de diminuer !

 

Le jugement est trop clément. Moi, j'ajoute : si l'école de musique, les associations (il y en a plus de 40 au village) ne sont pas là, eh bien c'est la faute à Carmentran !

 

La fascinante crémation de l'immonde Carmentran... Bof !... On brûle quoi, au juste ? Les illusions des grands carnavals d'antan ? Allez savoir ! 

 

On conclut par le goûter sympa du Sou... Vers 17 heures, la fête est finie... Adieu, bals populaires, charivaris et ripailles d'antan ! 

 
Vidéo  = 7' 10"
  
Carnaval bien sage balaiera ses cendres. Pourvu qu'il en renaisse 
en 2011 à l'instar de Phénix ! 

Commentaire vidéo

  • J’ai déjà tout dit sur ce mini-festival au grand cœur qui perdure contre l’inertie ambiante et s’amenuise au fil des ans.

  •  Mais… il n’y a pas de musique ? 
    – Ne cherche pas : il n’y en a pas. 
    – Pourquoi ? – Parce que le groupe de danse country a eu peur du défilé et a préféré une animation en catimini à la salle des fêtes. – Ça alors !

  • Quelques badauds daignent un tendre regard sur le pas de leur porte.

  • On glisse devant le bar du Sporting, très moyennement captivé.

  • L’absence d’interaction associative devient criante. Une bonne quarantaine d’associations cohabite dans le village. Seul le Foyer des jeunes avait dépêché sa danse country… hélas ! absente au défilé. – On ne peut donc pas danser le country en marchant ? – J’sais pas !

  • Faute d’événement fracassant, on peut toujours louer l’immense mérite du Sou des écoles laïques de Mondragon qui sauvegarde un filet de tradition.

  • Le jugement est trop clément. Où sont l’école de musique, les clubs sportifs et autres entités culturelles de ce village ? Si tous sont absents, est-ce la faute à Carmentran ? Vite dit !

  • Est-ce la faute au « clan » du Sou ? Quel clan ? C’est devenu tout petit, petit, petit…

  • Il reste tout de même une étincelle. L’impatience est au bout de l’allumette. Le bouc émissaire a les pieds fleuris de mimosa, mais il va périr dans les flammes.

  • Cela frétille encore parmi l’assistance. Carnaval retrouve un moment son panache. Il va brûler… Ça y est : il brûle ! Mais il brûle quoi ? Nos illusions perdues…

  • Tu crois qu’ils s’amusent ? – Sans doute, sinon ils ne seraient pas là. – Pourquoi ça ne bouge pas plus ? – On fait avec ce qu’on a. – Où vont-ils ? – Nulle part… T’écoutes pas quand je te parle : c’est fini ! – Ah ! bon…

  • Non, ce pas tout a fait terminé. Reste la note affective. Un goûter offert à tous par le Sou conclut ce mini-carnaval au grand cœur.

  • La danse country brillait donc par son absence… Quelques cow-boys subsistaient ici et là…

  • Vers 17 heures, la fête est vraiment finie... Adieu, bals populaires, charivaris et ripailles d'antan ! Carnaval bien sage balaiera ses cendres. A l'instar de Phénix, pourvu qu'il en renaisse l’an prochain !

Haut de page