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Lionel de Bimard
harangue les festivaliers du haut de son balcon. |
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Etalé
sur trois semaines, cinq étapes auront abreuvé le cru 2010.
Cela débutait par des « Traits de caractère »
sous forme de portraits, dus à treize peintres et sculpteurs
qui « rendaient hommage à Delacroix, pensionnaire
privilégié de Nohan. »
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Suivait
une adaptation de « Don
Giovanni » juvénile, plus mozartien que nature, par
de jeunes interprètes inspirés, mis en scène par Isabelle du
Boucher et Annie Paradis. Une exposition-concert « de
Varsovie à Nohan » (au profit des œuvres de l’Ordre
de Malte) prenait le relais avec des textes, des chants et
partitions pianistiques notamment dues à Chopin.
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Nous
en sommes ce soir à l’avant-dernier chapitre qui déborde de
toute part, emprunte le balcon, l’escalier, les
portes-fenêtres et quadrille le jardin jusque dans ses moindres
frondaisons, d’où surgiront deux couples d’amants
torturés, le roi des fées, un prétendant à tête d’âne et
autres lutins, hantant ce fameux « Songe d’une nuit d’été »,
imaginé par Shakespeare.
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Les
festivaliers sous le charme pardonnent la verve
"abondante" de leur hôte. |
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